Nathalie Laville
23 septembre 2019

PVT Nouvelle-Zélande, les kiwis ont la côte, avec pvtistes.net

Les Français préfèrent de loin s’installer dans l’immense Australie, mais la Nouvelle-Zélande a de plus en plus le vent en poupe auprès de nos concitoyens : s’ils sont 5 fois moins nombreux ici qu’en Australie, il sont aussi de plus en plus nombreux à opter pour cette destination (+11% en 2017). PAr ailleurs, la Nouvelle-Zélande […]

Les Français préfèrent de loin s’installer dans l’immense Australie, mais la Nouvelle-Zélande a de plus en plus le vent en poupe auprès de nos concitoyens : s’ils sont 5 fois moins nombreux ici qu’en Australie, il sont aussi de plus en plus nombreux à opter pour cette destination (+11% en 2017). PAr ailleurs, la Nouvelle-Zélande est le pays qui a signé le plus d’accords de PVT au monde. En 2018, plus de 70 000 jeunes du monde entier ont obtenu leur visa pour se rendre en Nouvelle-Zélande avec un Working Holiday Visa pour y travailler et y voyager.

Pourquoi choisir le PVT Nouvelle-Zélande ? Moins recherché que l’Australie, le PVT Nouvelle-Zélande offre de nombreux avantage, ne serait-ce que celui d’avoir moins de concurrence ! Ici, les Français se font plus rares, et la situation de plein-emploi que le pays connaît leur permet de trouver assez facilement un emploi. A la condition, bien sûr, de maîtriser l’anglais ! Et gros bonus, vous pourrez découvrir un pays magique, avec des paysages impressionnants, ceux là mêmes qui ont participé au succès du Seigneur des anneaux ou de La leçon de piano.

Conditions. Vous devez avoir entre 18 et 30 ans au moment de votre demande de Visa Vacances-Travail et posséder des économies pour subvenir à vos besoins en début de séjour (au minimum 4 200 $NZ, soit 2 400 €). Vous devez aussi souscrire à une assurance maladie, hospitalisation et rapatriement pour la durée de votre séjour. Comme il n’y a pas de quota, c’est une destination pour laquelle il est relativement facile d’obtenir un PVT .

Témoignage de Samuel

« Je voulais partir à l’aventure. À Helsinki, en revenant du boulot, j’étais fatigué et je n’avais pas le temps de travailler sur mes projets. De même, arrivé le week-end, je n’avais que trop peu d’énergie pour partir en vadrouille, me lever avant le soleil et aller faire de la photo. Je voulais aller voir autre chose. Après avoir découvert le PVT, je me suis dit que c’était le plan parfait, et donc j’ai décidé de partir.
C’est la première fois que je partais en voyage sans avoir de plan, sans savoir ce que j’allais faire. Je voulais partir dans un pays plutôt “occidental”, où je ne serais pas trop perdu. On voit toujours des images époustouflantes venues de Nouvelle-Zélande, du coup je savais depuis toujours que c’était un pays à visiter. Le fait qu’il y ait énormément de ressources disponibles pour les PVTistes a achevé de me convaincre.
Au début de mon séjour, j’ai fait 2 semaines de wwoofing dans deux endroits différents, sur la péninsule de Coromandel. J’ai adoré partager le quotidien de locaux, au lieu de rencontrer uniquement des voyageurs. J’ai utilisé le site HelpX.
Par ailleurs, je fais en ce moment du volontariat pour le Department of Conservation : les soirs de week-end, je m’assois sur la plage non loin de Dunedin, et j’observe les manchots rentrer au nid ! »

Rendez-vous le 5 octobre 2019 à Paris au salon du PVT pour en apprendre plus sur ce programme qui séduit près de 47 000 Français par an !

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