Pour certains Français de l’étranger, exercer son droit de vote s’apparente à un véritable parcours du combattant. C’est souvent le cas pour nos compatriotes établis sur le continent américain. Jean-François est établi depuis 6 mois au Brésil, plus précisément à Florianopolis, une ville située à 700 kilomètres au sud de São Paulo. Il décrit les problèmes qui l’ont empêché de voter au premier tour de l’élection présidentielle. Ecouter la chronique ici