Leena Lecointre
14 octobre 2022

Le Corps Européen de Solidarité, programme d’aide au volontariat international

Ce programme de volontariat local et international a été mis en place dans le cadre de l’Année Européenne de la Jeunesse pour permettre aux jeunes de réaliser des missions d’intérêt général partout en Europe.

S’adressant aux jeunes de 18 à 30 ans, le Corps Européen de Solidarité (CES) travaille à mettre en lien volontaires et organisations européennes. Il propose des missions de volontariat locales comme internationales auxquelles chacun peut candidater. Cette initiative s’inscrit dans le projet global de l’Année Européenne de la Jeunesse (AEJ).

2022 a été décrétée comme étant une année de focalisation sur l’accompagnement des jeunes. Cette catégorie de population a été fortement touchée économiquement et psychologiquement par la pandémie de Covid-19, et l’AEJ a établi une série d’objectifs pour améliorer leur situation. Parmi elles, le programme du CES a pour but de favoriser les actions communautaires locales mais aussi les échanges internationaux. Cette démarche permet également aux différentes organisations participantes d’avoir accès à un réseau européen de jeunes motivés par leurs travaux.

Participation et création de projets solidaires

Si les participants peuvent s’inscrire au programme à partir de 17 ans, le début de leur affectation ne démarre qu’à 18 ans. Après leurs inscriptions, ils peuvent candidater aux missions qui les intéressent parmi les projets solidaires et humanitaires proposés. Éducation, environnement, culture… Pour aiguiller les jeunes dans des choix qui leurs conviennent, le CES a mis à disposition un questionnaire en ligne. Une fois sélectionnés par les organisations, le programme prend en charge les démarches administratives en vigueur pour permettre aux volontaires de partir à l’étranger ou de s’intégrer dans des actions locales.

Le CES propose également d’accompagner la mise en place de projets originaux, sans passer par une organisation de référence. Il aide à l’élaboration d’initiatives solidaires, portées par des groupes de cinq jeunes ou plus sur une période d’un an dans leur pays de résidence. Encadré par des conseillers du programme, les volontaires ont donc l’opportunité de mettre en œuvre leurs idées pour participer à l’amélioration et au développement de leur communauté.

share Partager

Etudier et travailler

EURES, le portail européen de l’emploi, fait sa rentrée

Plus de trente ans après sa création par la Commission européenne, le succès de la vitrine pour les offres d’emploi à travers l’Europe ne se dément pas. Pour plus d’efficacité, tous les profils sont désormais basculés sur le portail Europass.

Etudier et travailler

Rentrée compliquée : le Québec perd ses étudiants étrangers

C’est une rentrée pas comme les autres pour les universités québécoises. Les demandes d’admission d’étudiants étrangers ont diminué de 46 % cette année au Québec. Une chute libre. La cause ? Les restrictions d’Ottawa et de Québec, mais aussi l’image ternie des études au Canada à l’international, selon les établissements. Même la pandémie n’avait pas freiné autant les arrivées.

Etudier et travailler

Scolarité en école internationale : « Mon fils est le seul français dans son établissement »

Pour certaines familles, vivre à l’étranger rime avec scolarité internationale, que ce soit pour apprendre la langue locale, développer son anglais ou favoriser la mixité culturelle. Avec un risque, mettre de côté l’apprentissage du français, notamment à l’écrit.

Etudier et travailler

Visas étudiants étrangers : la volte-face de l’Australie

C’est officiel : le secteur de l’éducation australien sera autorisé à recruter l’an prochain 295 000 étudiants étrangers et non 270 000 comme annoncé encore cet été.

Etudier et travailler

Scolariser ses enfants en école française, un choix stratégique ?

Quand on part vivre à l’étranger, le choix de la scolarité pour ses enfants peut devenir cornélien. Entre école locale, école internationale ou française ou encore école à la maison, difficile de se décider. Témoignages de trois mères de famille qui ont fait le choix du lycée français pour leurs enfants en Jordanie, Côte d’Ivoire et Madagascar.