Actualités économiques
De bonnes perspectives pour 2018
L’ONU vient de publier un rapport sur la « Situation et les perspectives de l’économie mondiale des Nations Unies à la mi-2018 » qui démontre que le PIB mondial devrait augmenter de plus de 3% cette année et en 2019.

Pourquoi ? Principalement en raison d’une croissance accrue dans les pays développés et des conditions favorables pour l’investissement.
Cependant, l’ONU émet quelques réserves et prévient que la multiplication des tensions commerciales, l’incertitude quant à la politique monétaire, les niveaux de dette plus élevés et la hausse des tensions géopolitiques pourraient entraver cette hausse. La croissance du commerce mondial s’est également accélérée et reflète une augmentation généralisée de la demande mondiale.
Toutefois, certains pays et régions ne sont toujours pas concernés par cette hausse mondiale, en particulier l’Afrique centrale et l’Afrique du Sud.
L’ONU précise que ce climat favorable devrait aider les pays à réaliser leurs objectifs de développement durable, accélérer le processus de diversification économique, favoriser l’investissement dans les infrastructures de base.
- Etudier et travailleril y a 2 semaines
Scolariser ses enfants en école française, un choix stratégique ?
- Etudier et travailleril y a 2 semaines
Travailler pour la France depuis l’étranger : « Pour moi, ce n’était pas un choix »
- Tribuneil y a 2 semaines
Engagez vous !
- Destinations au banc d'essaiil y a 2 semaines
10 quartiers français emblématiques dans le monde
- Destinations au banc d'essaiil y a 1 semaine
Le lycée français de Berlin, une exception et un symbole
- Nos partenairesil y a 3 semaines
[Webinaire] Tout comprendre sur le divorce international pour les Français(es) vivant à l’étranger, notamment en Afrique
- Portrait de la semaineil y a 2 semaines
Podcast French Expat : « Les coulisses de la représentation des Français de l’étranger : Roland Lescure au micro de French Expat »
- Etudier et travailleril y a 1 semaine
Scolarité en école internationale : « Mon fils est le seul français dans son établissement »