Actualités
Le sens de l’accueil à Chicago
Derrière un job un peu austère, analyste de données, Guillaume Labat organise tous les mois un apéro pour les nouveaux arrivants français sur les rives du lac Michigan.
Ils ne sont que deux, avec son copain Hubert, à animer le site et l’association «French in Chicago». Autant dire que leur clavier n’a pas le temps de refroidir. «On édite une newsletter avec des infos sur la vie quotidienne, l’assurance, la banque ou la nourriture, explique Guillaume. Et une fois par mois, on se rencontre autour d’un verre et d’une crêpe, dans le restaurant d’un ami. Ça aide à s’intégrer plus facilement.» Guillaume Labat travaille au sein d’une équipe de vingt personnes. «Aux États-Unis, dit-il, on fait totalement confiance à l’employé. On vous donne une mission à accomplir en un temps donné, mais quand et comment vous la faites, on ne veut pas le savoir. » Les Américains sont des grands enfants qui «organisent des concours de chili con carne au bureau et viennent travailler en jean mais uniquement le vendredi». La ville aussi a séduit le Français: « Chicago a une architecture magnifique. Il n’y a qu’ici qu’on retrouve un mélange de gratte-ciels contemporains et de buildings plus anciens, datant du début du XIXe siècle. »
Lui écrire guilabat@gmail.com
Par Emmanuel Langlois, France Info
-
Actualités internationalesil y a 3 jours« On ne lâchera pas », le combat de ceux que le Québec a laissés tomber
-
Actualités internationalesil y a 3 semainesAssises de la protection sociale : et maintenant ?
-
Etudier et travailleril y a 3 semainesEntrer à Sciences Po Paris
-
Tribuneil y a 2 semainesEt si la France apprenait à se comparer?
-
Vie pratiqueil y a 2 semaines« Plus personne ne peut me dire de partir » : les raisons de la naturalisation
-
Tribuneil y a 2 joursQue retenir de 2025 pour les Français de l’étranger ?
-
Nos partenairesil y a 4 joursAsie du Sud-Est : pourquoi l’assurance santé locale ne suffit pas toujours aux expatriés et aux entreprises
-
Portrait de la semaineil y a 2 semainesPodcast French Expat : « Boris Labourguigne, le réalisateur français qui n’avait pas prévu de vivre aux États-Unis »
