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Actualités internationales

Alertes sécurité, du 3 au 8 octobre, avec International SOS

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Vous pouvez bénéficier, en exclusivité, des informations de notre partenaire International SOS, qui couvre pour la semaine du 2 au 8 octobre les événements nécessitant une vigilance accrue.

Afrique

Eswatini. Jours à venir. Depuis la fin du mois de septembre, les fonctionnaires de ce pays situé entre l’Afrique du Sud et le Mozambique (connu jusqu’à l’année dernière sous le nom de Swaziland) manifestent leur mécontentement. Les forces de l’ordre déployées ont fait usage de canons à eau et gaz lacrymogène, notamment dans les villes de Mbabane (capitale administrative et judiciaire) et Manzini. Les rassemblements de solidarité qui ont eu lieu dans la province sud-africaine adjacente de Mpumalanga risquent d’être suivis de semblables initiatives prochainement.

Guinée. 2 octobre. Ce jour, qui correspond à la fête de l’indépendance de la Guinée (1958), pourrait être l’occasion de troubles dans le pays en raison des perspectives de réforme constitutionnelle.

Kenya. Jours à venir. Le projet du gouvernement kenyan, « Vision 2030 », vise à promouvoir le recours au chemin de fer pour assurer la majorité du transport de fret. Cette décision suscite l’opposition des syndicats et des associations de défense des droits humains qui sont convenus d’un rassemblement tous les lundis dans le port de Mombasa jusqu’au 28 octobre.

Malawi. Jours à venir. La capitale Lilongwe et la ville de Blantyre, au sud du pays, seront le lieu de manifestations du 1er au 5 octobre, à l’appel de l’opposition toujours mobilisée depuis le scrutin de mai dernier qui a vu la réélection contestée du président Peter Mutharika.

République démocratique du Congo. Jours à venir. La question de l’impunité politique est au centre de la campagne initiée par le Comité laïc de coordination (CLC). Celle-ci pourrait donner lieu à des rassemblements dans la capitale Kinshasa.

Somalie. Jours à venir. La tension est grande en Somalie après l’attaque le 30 septembre dernier d’un convoi de forces italiennes de maintien de la paix. La permanence de cette menace terroriste pèse en effet sur le Forum pour le partenariat somalien qui a lieu à Mogadiscio jusqu’au 2 octobre. La capitale somalienne fait l’objet d’un important déploiement sécuritaire, avec des check-points à prévoir dans le centre-ville et aux abords de l’aéroport international Aden Adde (MGQ).

Afrique du Nord/Moyen-Orient

Égypte. Jours à venir. En dépit de l’interdiction systématique de manifester décrétée par le régime, des manifestations – d’une ampleur limitée mais sans précédent au regard de ce contexte sécuritaire – se sont déroulées dans plusieurs villes du pays.

Irak. 1er au 4 octobre. Le limogeage du lieutenant-général Abdual-Wahab par le Premier ministre Adil Abdul-Mahdi est à l’origine des manifestations qui doivent se dérouler à Bagdad, sur la place Tahrir. Celles-ci sont motivées par le fort crédit populaire de ce lieutenant-général, acquis au titre de sa contribution à la défaite de l’État islamique sur le sol irakien.

Jordanie. Jours à venir. Les professeurs jordaniens poursuivent le mouvement de grève décrété par leur syndicat.

Liban. Jours à venir. De possibles restrictions sur l’accès au dollar font l’objet de rumeurs qui pourraient être à la source de manifestations, d’autant que la corruption et les difficultés socio-économiques auxquelles doit faire face le Liban accentuent le mécontentement populaire.

Maroc. Jours à venir. Les partisans de la journaliste Hajar Raissouni sont vent debout contre sa condamnation à un an de prison ferme pour « avortement illégal » et « débauche », considérant qu’il s’agit là d’un jugement liberticide et misogyne. Alors que de nouveaux rassemblements de soutien sont prévus, à l’instar de ceux qui ont eu lieu précédemment devant le tribunal de première instance, les avocats de la journaliste ont décidé de faire appel de cette décision.

Tunisie. Jours à venir. Après le premier tour de l’élection présidentielle qui s’est déroulé sans incident, les Tunisiens sont appelés aux urnes le 6 octobre dans le cadre des élections législatives, avant de s’exprimer pour le deuxième tour de la présidentielle qui aura lieu le 13 octobre. Ces scrutins devraient donner lieu à l’organisation de différents meetings de campagne.

Amériques

Argentine. Jours à venir. Des élections générales sont attendues le 27 octobre en Argentine. Dans ce contexte, des rassemblements pourraient se tenir, notamment place de Mai, habituel lieu de contestation politique.

Bolivie. Jours à venir. Un scrutin national doit avoir lieu le 12 octobre prochain dans le pays. Préalablement et à l’issue de celui-ci, des manifestations ne sont pas à exclure, notamment sur l’avenue du 16-Juillet à La Paz.

Uruguay. Jours à venir. Comme en Argentine, des élections générales auront lieu le 27 octobre prochain. Dans la capitale Montevideo, les rassemblements en lien avec les événement politiques ont habituellement lieu sur la place de l’Indépendance.

Asie-Pacifique

Indonésie. Jours à venir. Les étudiants et de nombreux acteurs de la société civile font front contre un projet de loi qui tend à réformer l’agence de lutte contre la corruption. Les opposants au projet, qui craignent un affaiblissement de cette instance, manifestent leur mécontentement dans de nombreuses villes indonésiennes, mais plus particulièrement dans la capitale Jakarta. Le 1er octobre dernier, le Parlement était ainsi le lieu privilégié de ce mouvement de contestation.

République populaire de Chine. Jours à venir. Dans le prolongement de la fête nationale qui s’est déroulée le 1er octobre, les célébrations doivent se perpétuer durant sept jours. L’impact de cette « Semaine d’or », ainsi désignée en Chine, est d’ordre essentiellement logistique.

Europe

Géorgie. Jours à venir. Tbilissi est toujours le siège d’une grande défiance à l’égard du voisin russe comme en témoignent les rassemblements qui perdurent dans la capitale géorgienne. Rappelons qu’une manifestation a également eu lieu mi-septembre devant le siège de l’ambassade des États-Unis.

Grèce. 2 octobre. Les projets de réforme du marché du travail, avec entre autres la suppression des conventions collectives, mobilisent les syndicats de la fonction publique qui appellent à une grève d’au moins vingt-quatre heures. Parallèlement, une manifestation est prévue ce même jour depuis Platia Klafthmonos en direction du Parlement grec à partir de 11h.

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