Actualités internationales
Moselle : un test PCR à la frontière
Les mesures de sécurité sont renforcées entre le département et l’Allemagne
A partir de lundi 1er mars, des tests PCR négatifs, de moins de 72 heures, seront nécessaires pour tout déplacement des résidents frontaliers entre le département de la Moselle et l’Allemagne. Cette mesure ne s’applique pas aux travailleurs transfrontaliers, qui font la route pour des motifs professionnels.
A l’heure actuelle, pour toute entrée en France, pour les voyageurs autres que les transfrontaliers, un test est déjà demandé. « La dérogation de l’obligation de présentation d’un test PCR de moins de soixante-douze heures à l’entrée sur le territoire national sera limitée aux seules activités professionnelles, ont annoncé le ministre de la santé, Olivier Véran, et le secrétaire d’Etat aux affaires européennes, Clément Beaune, dans un communiqué commun. Les frontaliers qui se déplacent pour des motifs autres que professionnels devront donc présenter un test PCR négatif à la frontière. »
Des patrouilles renforcées de la police française et allemande pourraient être mises en place afin d’assurer l’effectivité de ces mesures.
-
Destinations au banc d'essaiil y a 3 semainesGuide gratuit à télécharger : Asie du Sud-Est — Le moteur discret de la croissance mondiale
-
Actualités internationalesil y a 3 semaines« On ne lâchera pas », le combat de ceux que le Québec a laissés tomber
-
Actualités économiquesil y a 2 semainesFuite des cerveaux : comment la Nouvelle-Zélande veut attirer les expatriés
-
Tribuneil y a 3 semainesQue retenir de 2025 pour les Français de l’étranger ?
-
Actualités internationalesil y a 2 semainesL’immigration européenne au Royaume-Uni en baisse: mais qu’en est-il des Français?
-
Vie pratiqueil y a 4 semaines« Plus personne ne peut me dire de partir » : les raisons de la naturalisation
-
Actualités économiquesil y a 6 joursGenève, toujours la ville la plus chère au monde pour les expatriés
-
Nos partenairesil y a 3 semainesAsie du Sud-Est : pourquoi l’assurance santé locale ne suffit pas toujours aux expatriés et aux entreprises
