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L’Autriche, bonne élève de l’Europe

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Économiquement, le berceau de Mozart et de Freud ne connaît pas la crise. Politiquement, c’est plus discutable après les prises de position anti-migrants du tout jeune chancelier Sébastien Kurz.  

Alternative à l’Allemagne, terre d’accueil pour de nombreuses sociétés de sous-traitance, l’Autriche est un pays avec un taux de chômage exceptionnellement bas, et de beaux parcours comme celui du Français Yoann Longuestre, consultant à l’ONU. Un chômage au plus bas, autour de 4 à 5%, tous les secteurs qui ne cessent d’embaucher et des salaires élevés rapportés au coût de la vie. «Les gens vivent bien, sortent souvent, ça consomme pas mal, et il n’y a aucun sentiment d’insécurité dans les rues»,  témoigne le Français. La diplomatie est sans doute la porte d’entrée la plus intéressante en Autriche, surtout pour qui ne parle pas allemand. De nombreuses organisations internationales et ONG ont en effet leur siège à Vienne comme l’AIEA (nucléaire) ou l’OTICE (non-prolifération). C’est en tout cas la voie qu’a choisie Yoann Longuestre à son arrivée en 2009. «Je suis chargé de projet dans le secteur développement industriel de l’ONU, détaille-t-il, essentiellement à l’organisation de conférences internationales et pour l’assistance technique vers des pays en voie de développement en Afrique et en Europe de l’Est. » On n’en saura pas plus. Le sujet est confidentiel.

Lui écrire : longuestre.yoann@gmail.com

Par Emmanuel Langlois, France Info

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