Portrait de la semaine
Erasmus : 30 ans et des projets à revendre !
Le célèbre système d’échanges universitaires a permis à de nombreux étudiants de découvrir l’Europe, comme pour cette Française à Bilbao, en Espagne.
Certains ont même fait toute leur vie dans le pays où ils ne devaient passer qu’un an. Stéphanie Grené a deux casquettes : elle est traductrice et crée des programmes sur mesure pour les touristes de passage à Bilbao. «J’aime raconter des histoires, confie-t-elle. Quand je traduis, je vous donne l’accès à quelque chose que vous ne pourriez pas atteindre sans moi. Si je crée un voyage pour une personne, je lui donne la possibilité de faire partie de l’histoire. » La Française vit à Getxo, petit village sur la côte. Il y a 20 ans, lorsqu’elle décroche une bourse Erasmus pour venir étudier l’espagnol une année à l’université Deusto de Bilbao, Stéphanie Grené reconnaît qu’à ce moment-là, elle hésite un peu : « Je ne suis pas venue à reculons, mais j’étais plus attirée par Madrid, Séville ou Barcelone, qu’on connaît quand on est Français. A Bilbao, on m’a dit “tu verras, il pleut tout le temps, c’est comme la Bretagne en France !” Et quand je suis arrivée, c’était tout le contraire : une jolie ville, il faisait beau et j’ai eu un coup de foudre. »
Lui écrire mailto :stephanie.grene@gmail.com
Par Emmanuel Langlois, France Info
-
Actualités internationalesil y a 1 semaine« On ne lâchera pas », le combat de ceux que le Québec a laissés tomber
-
Etudier et travailleril y a 4 semainesEntrer à Sciences Po Paris
-
Actualités internationalesil y a 3 semainesAssises de la protection sociale : et maintenant ?
-
Destinations au banc d'essaiil y a 1 semaineGuide gratuit à télécharger : Asie du Sud-Est — Le moteur discret de la croissance mondiale
-
Tribuneil y a 1 semaineQue retenir de 2025 pour les Français de l’étranger ?
-
Tribuneil y a 3 semainesEt si la France apprenait à se comparer?
-
Actualités économiquesil y a 2 joursFuite des cerveaux : comment la Nouvelle-Zélande veut attirer les expatriés
-
Vie pratiqueil y a 2 semaines« Plus personne ne peut me dire de partir » : les raisons de la naturalisation
