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Marion Huber : de Marseille à Bathurst au Nouveau-Brunswick
Lorsque j’ai décidé de quitter le sud de la France pour m’installer au Nouveau-Brunswick et commencer une nouvelle vie, je réfléchissais à mes options.
![Marion Huber : de Marseille à Bathurst au Nouveau-Brunswick](https://www.francaisaletranger.fr/wp-content/uploads/2023/07/Marion-Huber-de-Marseille-a-Bathurst-au-Nouveau-Brunswick.jpg)
En France, j’avais choisi de faire un BTS tourisme : des études courtes et qualifiantes qui me permettaient d’aller rapidement sur le marché de l’emploi. Cette formule d’apprentissage, le CCNB (Collège communautaire du Nouveau-Brunswick) peut vous l’offrir.
Plus de 80 programmes de cours répartis dans cinq campus à travers la province, qui préparent les étudiants à entrer sur le marché du travail rapidement. Parmi les 15 professions prioritaires en forte demande de main-d’œuvre au Nouveau-Brunswick*, huit ont un programme de formation offert au CCNB.
Les frais de scolarité sont abordables, les horaires réguliers et il vous sera possible de continuer vers des études universitaires pour compléter votre formation à la fin de vos études au CCNB. De plus, les ateliers de pratique simulent de vrais environnements de travail et les enseignants, qui ont d’abord été des professionnels du métier avant de devenir enseignants, préparent les étudiants à leurs stages pratiques. Souvent, ces stages donnent l’opportunité d’un emploi une fois le diplôme ou le certificat en poche.
Le Nouveau-Brunswick étant la seule province officiellement bilingue du Canada, elle accueille de nombreux étudiants internationaux venant de pays francophones et francophiles qui souhaitent étudier en français et apprendre l’anglais. Le CCNB, leur offre la possibilité de perfectionner leurs compétences linguistiques pendant leurs études grâce à des cours spécialement conçus pour eux.
En tant qu’agente de liaison au recrutement étudiant pour le CCNB, ce sont ces avantages que j’aime mettre en valeur.
En tant qu’ancienne « nouvelle arrivante », j’aime aussi parler du fait qu’il est possible de reprendre ses études à n’importe quel âge. Avec l’expérience, si je devais changer quelque chose dans mon parcours d’immigration, ce serait de reprendre des cours pour obtenir un diplôme canadien. Cela aurait vraiment facilité ma compréhension des attentes dans le milieu professionnel et m’aurait aussi permis d’avoir accès à des emplois plus facilement, sans compter que le CCNB offre aussi tout un parcours éducatif pour les adultes, qui peut être adapté à la réalité de la vie courante.
Pour ces raisons, mon choix se serait porté vers le CCNB.
* Source : Rapport de la Province du Nouveau-Brunswick, février 2022.
![CCNB](https://www.francaisaletranger.fr/wp-content/uploads/2023/07/REC_Webinaire_Eventebrite.jpg)
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